Chaque année, des milliers d’entreprises règlent leur taxe foncière professionnelle sans se douter qu’elles paient parfois bien plus que ce qu’elles devraient réellement. En cause : des erreurs de calcul, des valeurs cadastrales obsolètes, ou un manque de contrôle sur les bases fiscales appliquées par l’administration.
Des erreurs fréquentes et coûteuses
La taxe foncière professionnelle repose principalement sur la valeur locative cadastrale de vos locaux.
Résultat : vous payez une imposition surévaluée, parfois depuis plusieurs années, sans même le savoir.
Pourquoi cela arrive-t-il si souvent ?
- – Des revalorisations cadastrales automatiques mal adaptées à votre secteur,
- – Des changements dans vos locaux professionnels (aménagements, travaux, agrandissements ou réductions de surface) non pris en compte,
- – Un manque de vérification : beaucoup de dirigeants paient sans demander de détails sur le calcul.
Les conséquences pour votre entreprise
Ces erreurs peuvent représenter plusieurs milliers d’euros par an. Cumulées sur 3, 5 ou 10 ans, cela devient un manque à gagner considérable, impactant directement vos marges et votre capacité d’investissement.
Peut-on récupérer le trop-payé ?
Bonne nouvelle : il est possible de demander un audit de taxe foncière des entreprises pour vérifier vos bases fiscales. En cas d’anomalie, une réclamation contentieuse peut être déposée auprès de l’administration pour obtenir un remboursement, parfois rétroactif sur plusieurs années.
Le vrai enjeu : reprendre le contrôle
Ne laissez pas vos charges fiscales impacter votre rentabilité sans raison. Un contrôle approfondi de votre taxe foncière entreprise est souvent la clé pour détecter des économies immédiates et durables.